ART DE LA TABLE
Qui dit Art de la table dit céramique.
Mais derrière le nom de céramique de Marrakech se cache 4 techniques différentes les unes des autres, la poterie, le grès, la faïence et la porcelaine.
Art de la table en grès
Dans le domaine de l’Art de la table, il est essentiel que votre vaisselle puisse s’adapter à notre mode de vie contemporain et résister aux chocs thermiques et physiques … nos fours à micro-ondes et nos lave-vaisselle.
La céramique de grès proposée par Vision Originale s’impose d’elle-même.
Art de la table et céramique
Quelques précisions sur la céramique de Marrakech
En réalité la céramique peut désigner le matériau, en l’occurrence l’argile cuite. Mais elle désigne également la technique utilisée. Et dans ce domaine, les différences sont colossales.
Alors pourquoi le grès
Par définition le grès est une céramique dite vitrifiée spécialement dédiée à l’Art de la Table.
La composition de sa pâte intègre différents éléments, dont une argile à forte teneur de silice, du kaolin et quelques secrets du céramiste.
Sa réalisation impose 2 cuissons … minimum
- Une première autour de 1000°C nommé le « dégourdi »
- Une seconde autour de 1400°C nommé l’auto-vitrification
Ensuite … c’est une histoire de rendu … entre mat et brillant, en d’autre termes d’émaillage ou pas.
Voyons les autres céramiques
La poterie
Elle est essentiellement réservée aux objets de décoration
En effet, la grande majorité des potiers utilisent de l’argile rouge, supportant des cuissons entre 850°C et 1000°C. Mode de cuisson ne permettant pas d’éliminer l’aspect poreux de ces poteries
La faïence
Son élaboration se fait en 2 temps.
Une fois façonnées, les faïences sont cuites dans un four entre 850°C et 1000°C, on appelle cela la cuisson du biscuit et les pièces biscuitées sont encore poreuse (comme la poterie).
Ensuite les pièces sont émaillées et repassent à un cuisson autour de 1000°C qui va permettre à l’émaillage de se fixer sur le biscuit pour le rendre imperméable.
La porcelaine
Au-delà de la présence de l’argile, la préparation de la pâte introduit le kaolin, un élément permettant d’acquérir de la résistance en conservant un aspect translucide. Sa conception demande 2 cuissons :
La première autour de 850°C pour obtenir le dégourdi
La seconde entre 1250°C et 1400°C pour acquérir la pièce finale.